• Les boules du Costa Rica.

    Les boules du Costa Rica.

    Alors pour ce qui est de la description et du mode de fabrication supposé de ces boules, voici les Explications D'Yvon Leclerc, chercheur à l'institut international du paléozoïque : Il existe au sud du Costa Rica dans le Delta du fleuve Diquis, près de 200 boules (bolas) en granite très dur.



    Elles varient de 10 cm à 2,5 mètres de diamètre (jusqu'à 16 tonnes).
    Elles auraient été sculptées par des artisans d'Amérique Centrale il y a 1,600 ans et plus.
    On ne peut savoir à quelle époque précise puisqu'il est difficile de dater le travail sur une pierre.
    Nous pouvons dater la pierre mais nous ne pouvons pas dater le travail sur la pierre.
    Nous ne connaissons pas le pourquoi de ces boules.
    Elles auraient peut-être servi aux emplacements des tombes.
    Plusieurs ont été détruites par les bulldozers quand la forêt céda la place aux plantations de bananiers. D'autres boules ont été déplacées pour servir de monuments touristiques etc.
    Une des boules de 2 mètres a été vérifiée, la marge d'erreur est de 2 millimètres, ce qui fait qu'elle n'est pas tout à fait sphérique.
    Même avec les outils d'aujourd'hui, il serait difficile d'arriver à cette perfection.
    Les spécialistes croient que chaque boule aurait été taillée en boule grossière et par la suite, polie avec un abrasif (peut-être du sable).
    Les archéologue se posent la question : pourquoi les carrières de granite sont à une dizaine de kilomètres de là? Nous n'avons pu étudier qu'une boule de 3 pi.
    Nous avons effectué trois frottis bruts sur la boule et nous avons comparé les frottis pour voir si les outils et la technique étaient semblables.
    Nous ne croyons pas que la "bolas" ait été sculptée grossièrement et par la suite finie avec un abrasif de sable. Nous pensons plutôt qu'elle a été travaillée à l'aide d'un gabarit et un outil de 1,75 po + ou - de largeur a servi à la finition de cette "bolas".
    L'artisan a travaillé la finition en deux étapes.
    Il a d'abord procédé en bandes horizontales en vérifiant régulièrement avec le gabarit.
    Par la suite, il a roulé la boule d'un quart de tour.
    Le sculpteur a refait le même procédé de finition en bandes horizontales, ce qui a donné un motif en carrés.
    Nous pouvons voir sur les frottis des marques parallèles, horizontales et verticales qui tracent des carrés d'une superficie de 1,75 po. par 1,75 po.
    Il nous est difficile de confirmer l'utilisation du sable comme abrasif puisque le temps a usé la surface, mais nous pensons que le fait de voir les coups du ciseau démontrerait qu'il n'y a pas eu d'abrasif.

    Cette technique pourrait être utilisée sur les différentes boules et comparée les frottis pour vérifier les outils et les techniques utilisés.
    Pour obtenir une meilleure idée de datation, il serait intéressant de faire des plâtres sur différentes boules afin de mettre en relief les traces d'outils.
    Par la suite, visiter les musées et faire des plâtres sur des poteries qui semblent avoir les mêmes traces d'outils. En trouvant les mêmes traces d'outils, il serait facile de dater la poterie au carbone 14.
    Et nous aurions la date de ces outils qui ont fabriqué les boules.
    Et nous pourrions, par le fait même, avoir peut-être une bonne idée des artisans qui ont fait ces boules, puisqu'ils sont les mêmes qui auraient fait les poteries.
    D'autres archéologue s'intéressèrent a ces objets tel Doris Z. Stone qui en 1940 termina son rapport par cette phrase très révélatrice :

    "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."

    De plus, certaines d'entre elles ont été retrouvées dans des endroits extrêmement difficile d'accès comme l'explique l'explorateur suisse Erich Von DÄNIKEN, il indique qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 Km en Land-Rover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin.
    Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt.
    C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer".

    Alors comment ces boules qui sont déjà incroyables de par leur fabrication, puisque certaines atteignent un degré de perfection difficilement réalisable avec nos outils moderne, se sont elles retrouvée perdue en pleine jungle ?
    On peux imaginer qu'a cette époque ces régions n'était pas recouvertes de forêts et étaient donc habitables et habitées mais dans ce cas pourquoi n'as t'on pas retrouver (à ma connaissance du moins) des vestiges aux alentour de ces boules ?
    Il semblerait également que les seules carrières de granit (connues en tout cas) se trouvent souvent a des distances relativement importantes allant de 10 à près de 100 Km.
    Il est vrai que, vu leurs formes il ne devait pas être bien difficile de les déplacer, à la condition de le faire sur un terrain relativement dur et surtout pas marécageux, mais tout de même !!!
    Pourquoi des personnes auraient fabriqué ces boules avec autant de soins, ce qui à du leur prendre des mois voir des années, pour ensuite les emmener très loin de là et tout cela uniquement pour leur servir d'objet de culte ou autres rituels funéraires ?

    La question restera encore longtemps sans réponses malheureusement.
    Néanmoins, une légendes locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.
    Mais les archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que chez les Mayas ou les Aztèques.
    D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des sanctuaires tabous.

    Plus d'info :

    ldi5.com

    secretebase.free.fr

  • Commentaires

    1
    visiteur_val49
    Dimanche 29 Juillet 2007 à 22:49
    jai entendu parler ossi dé crâne de cristal, héritage des aztèques é ki, une foi réuni, délivreron un message crutial pr lhumanité
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    2
    visiteur_corro zion
    Mardi 18 Mars 2008 à 15:37
    si message il y a,pensez vous avoir les capacités nécessaires pour l interpréter correctement?j en doute...je vous suggère dans un premier temps l utilisation d un dictionnaire,l écriture sms discrédite considérablement certains sujets.si vous avez moins de dix ans ce message ne s applique pas a vous,les autres ,au lieu d anémier le monde,pourquoi ne pas vous améliorer et permettre aux suivants de faire de meme?il y aura toujours des opinions différentes mais l écriture ne dois pas être diminuée.merci hybride,j ai trouvé ce que je cherchais.
    3
    Zetetique
    Jeudi 30 Décembre 2010 à 15:07
    Bonjour,
    il y a beaucoup d'éléments sur la question des sphères du Costa Rica qui répondent largement à cet article: http://www.zetetique.fr/divers/Spheres%20Du%20Costa%20Rica.pdf ou http://www.zetetique.fr/index.php/dossiers/84-spheres-costa-rica
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