• Zidane Un Coup De Tête.

    Durée :  01:05:22.



    Hybride votre humble serviteur.



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  • STS-48.

    Durée :  00:26.




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    L'interview.



    STS 48 LE VOL.


    Hybride votre humble serviteur.

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  • Voici la retranscription, en français, de cette émission :

    Source : Larry King Live.

    26/06/92

    LARRY KING : Je vous souhaite la bienvenue au Larry King Live. Une caméra à bord de la navette spatiale Discovery a enregistré une scène curieuse, il y a neuf mois. Quelques enquêteurs ufologiques y voient clairement un engin, non pas l’un des nôtres, exécutant une manœuvre à haute vitesse. D’autres disent que ce sont de simples déchets. Jugez vous-mêmes.

    La mission STS-48 vola en septembre de l’année passée. Alors que Discovery faisait le tour de la Terre, la caméra a filmé ce qui ressemblait à un objet se déplaçant de gauche à droite. Il a fait soudainement, et étrangement, un virage à droite et fut hors du champ de vision, suivi par un laser du fond de l’écran jusqu’à son sommet. En y regardant plus précisément, l’objet semble changer de direction. La NASA prétend que c’était de l’eau rejetée par Discovery. Les enthousiastes fanatiques des OVNI ne sont pas d’accord et clament que la NASA cache depuis longtemps les rencontres du troisième type.

    Nous avons de Los Angeles Don Ecker du " UFO Magazine ". A Houston, l’ingénieur spatial et auteur James Oberg qui a travaillé sur les communications au sol lors de la mission qui nous intéresse. Don, êtes-vous sûr qu’il s’agit d’un OVNI.

    DON ECKER : Et bien, ça a tout l’air, Larry, d’être quelques chose de non identifié. Il donne l’impression de voler. Et l’on n'a jamais vu des eaux usées, de l’urine – comme l’affirment certains – faire des virages à nonante degrés.

    KING : Pourquoi la NASA voudrait-elle le cacher ?

    ECKER : Pourquoi le gouvernement des Etats-Unis veut-il maintenir le sujet dans l’ombre depuis quarante-cinq ans ?

    KING : Pourquoi ?

    ECKER : Nous entrerions dans le royaume de la spéculation…

    KING : Le gouvernement le nie, alors il faudra que vous me disiez pourquoi vous pensez qu’il le cache ?

    ECKER : D’accord, pour commencer, j’ai quelques questions à ce sujet à poser à Jim avant. Pour commencer, bonsoir, Jim. Et j’ai quelques questions. Pour commencer, en qualité de quoi êtes-vous ici ce soir ? Etes-vous là… ?

    KING : Attendez. On prépare le micro de Jim. Alors continuons avec vous et on me fera savoir quand tout sera prêt. Quand vous avez vu ces cassettes pour la première fois, n’avez-vous pas nourri votre frénésie, n’était-ce pas quelque chose par lequel vous avez été emballé ? Ou bien les avez-vous calmement analysées ? Avez-vous enquêté sur une explication à leur sujet ?

    ECKER : Absolument. En fait, j’ai les documents avec moi, grâce auxquels la NASA a affirmé ce qu’étaient ces objets particulièrement bizarres. Il y a plusieurs événements sur cette cassette qui viennent d’une chaîne de télévision dans les environs du Maryland qui l’a transmis à la NASA. Originellement, c’était le deuxième événement qui montre quelques objets bizarres qui simplement ne concordent avec les conclusions que donne la NASA au sujet de leur identité. Si vous visionnez l’extrait complet, vous remarquerez que quelques temps après que cet événement-là soit apparu, la NASA se prépare à lâcher les eaux usées.

    KING : D’accord, James, êtes-vous maintenant avec nous ? M’entendez-vous ?

    JAMES OBERG, Ingénieur Spatial : Tout va bien. Nous pouvons communiquer, mais j’ai eu un problème avec votre…

    KING : Très bien, voici donc James Oberg, ingénieur spatial et auteur. Il a travaillé sur le contrôle du vol lors de cette mission. Et vous dites que ce ne fut pas un événement paranormal, n’est-ce pas ?

    OBERG : C’est un phénomène très familier. Larry, nous voyons cela depuis les lucioles sur le vol de John Glenn, il y a trente ans. La navette est entourée de nuages de déchets : glace, poussières, restes d’isolation et autres. Ces événements – et j’ai vu ces cassettes et des centaines d’heures de vidéo du même type – sont tout à fait normaux.

    KING : D’accord, Don a quelques questions pour vous. Don ?

    ECKER : Oui. Jim, en qualité de quoi êtes-vous là ce soir ? Etes-vous ici en tant que civil ? Etes-vous un représentant de Lockheed…

    OBERG : Don, je ne représente…

    ECKER : ...ou de la NASA ?

    OBERG : Don, ne posez pas de questions stupides. Je n’ai pas de relation avec Lockheed. Je suis un simple passionné de l’espace. Je suis intéressé par le mythe et le folklore de l’extraterrestre…

    ECKER : Donc en d’autres mots, vous êtes ici parce que vous l’avez voulu ?

    KING : Oui, en d’autres mots, James, vous ne représentez pas la NASA, c’est cela ?

    OBERG : Je vous renvoie la balle, Don. Je ne suis pas un éditeur de magazine qui cherche à vendre d’autres abonnements.

    KING : D’accord, James, mais…

    ECKER : D’accord, laissez-moi vous dire cela…

    KING : On se calme, on se calme, on se calme, on se calme…

    ECKER : Laissez-moi vous dire cela…

    KING : On se calme, on se calme…

    ECKER : James…

    KING : Don, Don, Don, du calme ! C’est mon émission. James, vous ne représentez donc pas la NASA, c’est cela ?

    OBERG : Non, j’ai écrit à ce sujet il y a longtemps.

    KING : D’accord, avez-vous travaillé sur cette mission ?

    OBERG : Oui.

    KING : En qualité de quoi ?

    OBERG : J’étais dans le centre de contrôle du vol, dont l’une des tâches était de lâcher un des satellites. Donc j’étais là pour…

    KING : Etes-vous un employé sous contrat avec la NASA ?

    OBERG : Oui, oui, je le suis. Oui.

    KING : D’accord, mais ce soir vous venez en tant que James Oberg l’ingénieur spatial…

    OBERG : C’est cela.

    KING : …ne représentant pas la NASA ?

    OBERG : Tout à fait.

    ECKER : D’accord, Larry, j’ai une autre question pour Jim…

    KING : Continuez, Don, continuez.

    ECKER : Oui, j’ai une autre question pour lui. Jim, travaillez-vous ici sous les contraintes d’un contrat de sécurité que vous auriez signé avec la NASA ?

    OBERG : Non, ce n’est pas moi l’important ici. L’essentiel sont ces films et l’énorme affaire que l’on est en train de faire autour.

    ECKER : Bien, voici une simple question, Jim. Travaillez-vous sous des contraintes de sécurité ?

    KING : James, ceci est une question valable. Avez-vous signé une sorte d’arrangement avec la NASA qui stipule que vous n’avez pas le droit de révéler certaines choses ?

    OBERG : Les dossiers du DOD, oui. Mais cela n’en est pas un et ceci n’est pas secret. Rien de cette affaire n’est secret…

    ECKER : D’accord, laissez-moi… Une dernière question, Jim…

    KING : DOD veut dire " Département de la Défense " ?

    OBERG : C’est cela.

    KING : Très bien. Continuez, Don.

    ECKER : Une dernière question, et elle est très simple. Avec les engagements que vous avez signés avec, avant que nous ne parlions de ce bout de vidéo en particulier, seriez-vous libres de parler de parler de ces objets bizarres, si vous vous rendiez compte de leur existence ? Et je ne parle des objets bizarres qui sont nos débris ou notre vaisseau spatial.

    OBERG : Je suis absolument libre de parler de ces sujets, tout ce qui a été vu sur la navette. J’en ai parlé. J’ai écrit des articles dans Omni Magazine, dans d’autres revues, et aussi des livres…

    ECKER : Non, non, non, ce n’est pas ce que je voulais dire…

    OBERG : …parce que c’est clair…

    ECKER : Vous êtes généralement sur…

    OBERG : Je donne mon opinion de professionnel…

    KING : Don, Don, Don, on se calme. Messieurs, on se calme. Ce n’est pas un combat, Don. Il a répondu à la question. Si ce n’était pas par peur du Département de la Défense, il pouvait parler au sujet de n’importe quoi. Maintenant, James, pourriez-vous brièvement…

    OBERG : Il n’y avait rien sur le STS-48 qui n’a été tenu secret, rien sur ce vol.

    KING : Très bien. Pourriez-vous nous dire, êtes-vous convaincu que ces choses volantes étaient des débris ?

    OBERG : Cela en a tout l’air, simplement. Maintenant, si quelqu’un veut y voir autre chose… Regardez ces pièces. Elles sont petites. Ce sont toujours de petites pièces qui sont juste très proches des caméras. Il y a toujours des déchets de ce type qui flottent autour. Quand les réacteurs sont en marche, quand on expulse des choses hors de la navette, ces éléments heurtent les débris. Ils changent de direction. Je l’ai vu… Je ne dirais pas des centaines fois, mais je l’ai vu auparavant sur d’autres missions.

    KING : Don, qu’en pensez-vous, que sont ces objets ? Si c’est un OVNI, qu’est-ce, Don ?

    ECKER : Et bien pour commencer, Larry…

    KING : Je veux dire par là, pourquoi n’atterrissent-ils pas et viennent discuter avec nous ?

    ECKER : Si, en fait, c’était des débris – Et Jim le sait très bien – ils bougeraient, se bousculeraient et tourneraient en orbite. Un examen du segment de film digitalisé en question ne montre pas du tout des mouvements hasardeux. Il se déplace en ligne droite. Il fait un parfait angle droit et disparaît dans l’espace. Maintenant, si, en effet, c’était le résultat de…

    OBERG : Don doit encore visionner quelques cassettes en plus. Il doit regarder encore une centaine d’heures en plus et il verra cela tout le temps.

    ECKER : Si, en fait, Jim, … Encore un instant. Si, en fait, c’était un déchet et si les réacteurs étaient en marche, donc, le champ de vision de la caméra a été programmé sur cette mission-là, parce que la navette s’est déplacée quelques temps après l’événement.

    OBERG : Je suis simplement époustouflé de voir combien de choses Don peut apprendre au sujet du programme spatial, éloigné de milliers de kilomètres du centre de contrôle de la mission. C’est le genre de choses qui…

    ECKER : En fait, Jim, si vous voulez de cela, c’est très bien. Si nous commençons à nous faire des attaques ad hominem, c’est une autre chose.

    OBERG : Bon, revenons à nos films.

    KING : Nous reviendrons très vite avec James Oberg et Don Ecker. Nous allons aussi prendre des coups de téléphone à ce sujet. C’est le Larry King Live. Ne partez pas. {Coupure de publicité}

    KING : Commençons par prendre des coups de téléphone pour Don Ecker – c’est un enquêteur pour UFO Magazine – et James Oberg, ingénieur spatial et auteur. Huntsville, Alabama – coin fameux pour les OVNI – Bonsoir.

    4e PERSONNE AU TELEPHONE : {Huntsville, Alabama} Bonsoir ?

    KING : Oui.

    4: Mon nom est O. H. Bond, Jr. Je suis à Huntsville, Alabama.

    KING : Oui, monsieur.

    4: J’ai eu une expérience sur la navette qui a volé quelques fois pour une mission appelée expérience des éclairs de la mésosphère (Mesoscale?), dans laquelle nous cherchons des éclairs dans la mésosphère et les effets d’événements inhabituels qui se produisent dans l’espace.

    KING : Et ?

    4: Plus précisément, nous cherchons des événements lumineux que l’on a vus monter tout droit de la couche de nuages jusqu’à la stratosphère, vingt miles plus haut.

    KING : Ce qui veut dire ?

    4: La question, messieurs, que je veux vous poser est celle-ci : Avec le respect des OVNI, je suis d’accord avec James Oberg. De ce que j’ai vu pendant ces années, visionnant des vidéos, ces sont des débris du vaisseau. Et la deuxième chose est que je crois que la plupart des objets que nous voyons sont d’autres débris qui sont en orbite.

    KING : Don ?

    ECKER : Je devrais demander, Larry, si, en fait, ceci est bien un débris de la navette, dans ce cas, pourquoi ne bouge-t-il pas ? Pourquoi a-t-il fait un net virage ? Le fait est que la NASA clame que…

    OBERG : Puis-je répondre à cela ? Si vous me donnez un peu de temps, je peux répondre cela.

    ECKER : Bon, la question m’a été adressée en premier, et je demande la question, Jim, et ensuite ce sera à vous.

    OBERG : Et vous ferez en sorte de ne pas le faire ainsi… Vous ne voulez pas la réponse.

    KING : Très bien, mais Don pose une question valable, et laissez Jim répondre. Pourquoi un débris bougerait-il de cette manière ? Je n’ai jamais vu un débris se déplacer ainsi.

    OBERG : Les gens peuvent voir cela. Quand la navette se place en orbite, les gens ne réalisent pas qu’il y a plus de cinquante sorties sur le nez de la navette, la queue, sur le côté – plus de cinquante sorties par lesquels sont évacués les déchets, bouts de glace et eaux – hors du centre de la navette. Et quand ces déchets sont évacués et que les réacteurs peuvent fonctionner, ils forment ce que l’on appelle " plumes ". Ils forment une explosion. Et quand ces débris vont dans cette zone, ils tournent, et vous pouvez le voir. Heureusement, sur le satellite SATCOM F2R et beaucoup d’autres satellites des réseaux de câbles que la NASA sélectionne du vol spatial. C’est pourquoi ces personnes ont vu cette cassette en premier. Je leur conseillerais simplement qu’eux et n’importe qui visionnent cette cassette pour plus que quelques heures. Regardez-les pendant des années, en terme de mission. Et ils verront ce genre d’événement. Mais la raison pour laquelle ce sont simplement des débris et non un vaisseau, extraterrestre, c’est qu’ils sont toujours petits. Ils sont toujours juste à la limite de la caméra.

    KING : Mais vous ne savez pas…

    OBERG : Qu’importe la valeur du zoom de la caméra, cela reste un point…

    KING : James, ce n’est pas à cent pour cent…

    OBERG : …et cela vous montre simplement que ce sont de petites pièces.

    KING : Vous n’en êtes sûrement pas certain, mais c’est votre meilleure réponse, n’est-ce pas ?

    OBERG : Je vous dirais que, si nous avons vu un véritable vaisseau, si j’ai vu un véritable vaisseau – et je connais beaucoup de gens dans le programme spatial – s’ils ont vu quelque réelle preuve de quelque chose de révolutionnaire, rien sur Terre ne pourra arrêter personne de venir à votre émission…

    ECKER : Une chose, Larry…

    KING : Laissez-moi prendre un autre appel. Sykesville, Maryland, bonsoir.

    5: (Sykesville, Maryland) Bonsoir, je suis Vincent Di Pietro.

    KING : Oui.

    5: De Sykesville, Maryland.

    KING : Oui.

    5: J’ai fait une analyse de la cassette que vous avez diffusée à la télévision.

    KING : Ah !

    5: Et j’aimerais faire quelques commentaires à ce sujet.

    KING : Etes-vous un scientifique ?

    5: Je travaille au Goddard Space Flight Center. Je suis ingénieur.

    KING : Bien.

    5: Je travaille avec le programme spatial.

    KING : Très bien.

    5: Mais je fais cela en tant que pigiste. Et j’aimerais dire que j’ai envoyé cela à quelques scientifiques, que j’ai appelé des ingénieurs, et ils m’ont tous décrit cet objet comme étant de la glace.

    KING : De la glace ?

    5: De la glace qui a tourné d’une certaine manière. Si vous regardez les autres débris sur l’écran, vous verrez que chacun fait un angle droit. En d’autres termes, il n’y a pas…

    ECKER : Bon, Vince – Vince, laissez-moi vous poser une question, parce que j’ai la cassette entière. Et j’ai aussi la partie que vous avez agrandie numériquement. Elle montre clairement un objet circulaire et courbe qui a été enregistré lors de la mission. Niez-vous cela ?

    5: Je le vois, et je ne sais pas ce que c’est.

    ECKER : L’avez-vous numériquement agrandi ?

    5: Oui.

    ECKER : Très bien, était-ce pour vous un objet bizarre ou un débris de glace ?

    5: Cela ressemble à un objet, mais je ne peux pas expliquer ce que c’est. Et je ne dis pas que ce n’est pas ce que vous décrivez. La seule chose que je dis est que l’explication que j’ai est : cet objet est un débris de glace. Il n’y a aucun moyen de connaître sa taille. Ce pourrait être de l’ordre du micro-pouce, ou de quelques pouces. Mais pas des centaines de pieds, comme beaucoup de personnes penchent à croire. Et l’explication que j’ai est que c’était des fusées, de petites et fines fusées, utilisées pour changer l’altitude du vaisseau sur les côtés ; et cela se fait lorsque ces objets sont évacués – C’est l’acide nitrique et l’hydrogène qui font fonctionner ces fusées. Quand elles sont envoyées…

    ECKER : Oui, et il n’y a pas de lumière, n’est-ce pas, Vince ?

    5: Il y a un flash que l’on peut voir au début. Et si vous êtes aussi méticuleux que pour mettre une pièce en cellophane sur votre télévision, vous verrez que tous ces objets – Non pas les étoiles, parce que les étoiles que l’on voit clairement vont derrière l’horizon. Mais si vous regardez les objets qui volent de gauche à droite, ils font tous un virage à gauche. C’est même moins…

    ECKER : Bon, Vince, comme vous travaillez sur ce segment de film, laissez-moi vous poser une autre question. Avant que ces événements n’arrivent, l’objet monte hors de l’obscurité et voyage de droite à gauche. Maintenant, si cela était ici avant le début de la séquence, comment l’expliqueriez-vous ?

    5: Je l’expliquerais ainsi : si vous écoutez attentivement la cassette, vous constaterez que le vaisseau est sorti de l’obscurité pour aller dans la lumière du soleil. Maintenant, s’il y avait des débris volant autour dans l’obscurité de l’espace, vous ne le verriez pas tant que la lumière n’y est pas.

    KING : Très bien, nous devrons continuer ainsi sur ce…

    OBERG : Ou peut-être cela aurait pu venir de la " payload bay " (baie de chargement), où les lumières sont. D’un côté, cela pourrait l’expliquer.

    KING : Faisons une pause, et nous reviendrons tout de suite après. Merci d’avoir appelé, Vince, en passant. Nous reviendrons avec plus de choses. C’est fascinant – je ne comprends pas, mais c’est fascinant ! Ne partez pas. {Coupure de publicité}

    KING : Très bien, nous sommes juste dans les temps. Don, verrons-nous un jour l’un d’entre eux atterrir sur la pelouse de la Maison Blanche et parler avec eux ?

    ECKER : Et bien, je ne sais s’ils atterriront sur la pelouse de la Maison Blanche, Larry, mais il y eut trois engins volant qui survolé en 1952 la Maison Blanche. J’ai une dernière question que je veux poser à Jim très rapidement et brièvement.

    KING : Très bien, mais vite.

    ECKER : Jim, êtes-vous conscient des études de la NASA sur le phénomène OVNI ?

    OBERG : Je le suis, Don, ce sont des histoires d’écoute qui durent depuis trente ans…

    ECKER : Je ne parle pas de vaisseaux spatiaux. Je parle de…

    OBERG : …Dans les magazines d’ufologie…

    ECKER : Je parle de…

    OBERG : …Prendre des copies…

    KING : Messieurs, nous vous accueillerons une autre fois. L’émission est terminée. Merci à tous…

    OBERG : et les falsifier.

    KING : Très bien. C’est fini. Merci beaucoup. Nous espérons que vous avez apprécié cette édition de ‘Don Ecker Live’ de Washington. {Rires}.

    [fin de retranscription].



    Source : Ufocom


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  • Le 15 septembre 1991, le vol STS-48 de la navette américaine Discovery s’est retrouvé au bon milieu d’une scène des plus étranges.

    Alors que les membres d’équipage vaquaient à leurs expériences scientifiques et effectuaient les tâches qui faisaient l’objet de leur mission, une caméra, à l’arrière de la soute de la navette, filmait l’horizon terrestre en automatique et transmettait ses données au contrôle au sol.

    Nombreux sont les radio-amateurs qui " écoutent " et " observent " les transmissions de ce genre de mission en direct. C’est grâce à l’un de ses sympathiques fouineurs que l’on possède aujourd’hui le film le plus " spectaculaire " de l’histoire de l’ufologie. De plus, même la NASA n’a pu que confirmer l'authenticité de ces images.

    Entre 20h00 et 20h30 GMT, un " objet " luisant émerge lentement de l’horizon terrestre et apparaît dans la partie inférieure droite de l’image. Il se déplace en diagonale ascendante vers le côté gauche de l’écran.

    Avant cela, d’autres " objets " brillants avaient été visibles et suivaient des trajectoires variées.

    Puis il y eut un flash lumineux qui semble provenir du coin inférieur gauche de l’écran. L’objet principal, accompagné des autres, changea brusquement de trajectoire et accéléra d’une manière vertigineuse (+ ou – 14000 G selon certains spécialistes) ! Cela ressemblait vraiment à une réaction occasionnée par le flash.

    A peine une seconde plus tard, un premier trait lumineux fonçait en direction de l’objet principal, suivi de près par un second " tir " qui, lui, visait la position de 2 autres objets. Mais ceux-ci étaient déjà loin…

    Quelques 65 secondes plus tard, l’angle de la caméra fut modifié. Celle-ci fut tournée vers l’avant de la soute et interrompit ses transmissions quelques secondes plus tard ! Mais trop tard car la scène avait été enregistrée par un " radio-amateur " stupéfait des images qu’il venait de voir.

    Ce film fit le tour de la communauté ufologique, partout dans le monde. La NASA allait devoir expliquer ce qui s’était passé.

    Elle le fit publiquement un peu plus tard, le 26 juin 1992, par le biais de l’émission de Larry King (Larry King Live) sur CNN. Cette émission accueillait deux personnalités. L’une est Don Ecker, un ufologue, responsable de la revue " UFO Magazine ". L’autre est James Oberg, ingénieur à la NASA et présent en salle de contrôle lors des " événements ". Toutefois, ce dernier intervient en tant que personne et non au nom de la NASA. Enfin, c’est ce qu’il déclare dans l’interview.


    Source : Ufocom


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  • Début de la séance :

    Quand le climat est bon et que les assistants ont pris place autour du maître de cérémonie, on peut commencer :

    1) - Former la chaîne. Chaque participant posera les mains écartées le plus possible sur la table avec les pouces qui se touchent et les auriculaires en contact avec les voisins de droite et de gauche. L'auriculaire gauche du médium (ou directeur) sera au contraire placé sur la planchette ainsi que l'auriculaire droit du participant à la gauche du médium. Il est bon de préciser que le contact avec la planchette doit être le plus léger possible. Il existe aussi une autre méthode qui consiste pour les petits budgets à fabriquer un plan de travail, sur une simple feuille de papier et de relier chaque participant en les faisant se rencontrer sur un verre, en cristal de préférence.

    2) - Aucun participant à la séance ne doit bouger de la position prise au début de celle-ci pendant au moins dix minutes, temps durant lequel la température des mains devra se maintenir.

    3) – Durant cette période, il est conseillé de se détendre et de faire le vide dans son esprit, je vous conseille de commencer par penser à une couleur, puis petit à petit, le vide se fera une place et vous serez totalement ouvert.

    4) - Des que la planchette (ou le verre) commencera à se mouvoir, le médium (et les autres participants dans le cas du verre) aura soin de suivre le mouvement de celle-ci sans perdre le contact.

    5) - Quand la planchette aura fait des mouvements fortuits pendant un certain laps de temps, le guide de la séance devra annoncer avec calme et clairement la disposition des lettres sur le tableau afin d'instruire l'esprit sur la disposition de celles-ci.

    6) - Lorsque cette phase préparatoire sera terminée, on pourra alors poser les questions, et ce sera toujours au guide de les poser. Au cas où quelqu'un dans l'assistance veuille poser des questions personnelles, celles-ci devront être posées par l'intermédiaire du médium.

    7) - Si pendant la séance, l'esprit manifeste de la fatigue, il est bon de ne pas le forcer et d'arrêter la séance.

    Fermeture de la séance :

    Pour pouvoir fermer la séance, il faut d'abord mentalement remercier l'esprit et après quelques minutes, toutes les personnes présentes interrompent la chaîne en même temps, en soulevant les mains de la table. Ces règles simples servent uniquement de plan pour celui qui veut s'appliquer dans l'étude et la pratique du spiritisme.

    Le OUI JA est composée essentiellement d'une planchette de forme particulière, traitée avec des procédés spéciaux et spécifiques à son usage.

    Sur la pointe de la planchette, il y a un trou qui permet l'introduction d'une cartouche de stylo à bille qui se révèle très utile au cas où l'on voudrait exécuter des dessins et des écritures automatiques.

    Au cas où l'on voudrait tenir une simple séance avec la classique table, on éliminera la cartouche et la pointe de la planchette fera office d'index.

    Mode d'emploi :

    Si l'on désire obtenir une communication médiumnique, on doit poser le tableau avec les lettres sur une table parfaitement lisse, afin que les billes de la planchette puissent glisser facilement sans déviations causées par les aspérités du plan d'appui.

    On peut procéder seul ou à plusieurs. Pour opérer seul, il faut être plus expert. Par conséquent, nous déconseillons vivement aux débutants l'usage de la planchette spirite tout seul.

    Dans tous les cas, on ne doit pas être en nombre supérieur à dix. De tous les participants, un seul est le médium, et au cas où celui-ci manquerait, on délèguera la personne la plus apte du groupe qui servira de directeur de séance.

    A la droite du médium (ou directeur) s'assiéra le guide qui a la fonction de ramener la planchette spirite dans une zone neutre du tableau après chaque indication de celle-ci. Le guide a aussi la tâche de transcrire le message relatif à la séance en cours.

    Etat mental et questions :

    Il est absolument interdit aux personnes présentes d'influencer la planchette spirite, même par la pensée. Il faut garder le silence le plus complet et adresser une invitation aux esprits afin qu'ils se montrent.

    Au cas où l'une des personnes présentes aurait quelques questions à poser, celles-ci doivent toujours être posées par l'intermédiaire du médium ou du directeur de séance.

    Ambiance :

    En général, les séances spirites s'effectuent le soir.
    Quand il fait noir, il est accordé une lumière diffuse mais très faible, qui éclaire verticalement la table.
    Il est important qu'il n'y ait aucune zone d'ombre.

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    Merci à Morrigane pour cet article.
    J'ai juste rajouter de la couleur parce que c'était fade.

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