• Voir un boulanger faire son pain en direct!!
    Voir un fantome....
    ect...ect...


    C'est possible ici :

    WebCam Insolites.







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  • L'affaire des rootkits Sony touche bientôt à sa fin.

    Sony BMG logo
    Souvenez-vous, tout a commencé il y a plus d'un an de cela, ennovembre 2005 plus précisément. Lors d'un test effectué sur un ordinateur à l'aide de l'outil de détection RootkitRevealer, un développeur de la firme de sécurité informatique Sysinternals remarqua la présence d'un rootkit.

    Il mit assez rapidement à jour son origine et fini par noter sa présence dans un certain nombre de CD musicaux commercialisés par la maison de disque Sony BMG.

    Sa révélation déclencha un raz-de-marée dans la presse et la curée commença. Sony subit alors la foudre des consommateurs et les nombreuses assignations en justice.
    Un an plus tard, cette douloureuse période pour Sony BMG semble toucher à sa fin. La maison de disque va enfin pouvoir dormir tranquille et voir ce mauvais épisode tomber quelques peu dans l'oubli.

    Sony BMG passe à la caisse.

    Nous apprenons que la maison de disque va ainsi devoir verser 750.000 dollars d'amende, soit 568.000 euros, dans le cadre d'un accord passé avec la justice californienne.

    C'est sans compter le dédommagement des nombreux consommateurs étasuniens dont l'ordinateur a été impacté par l'installation du rootkit suite à l'insertion d'un CD audio protégé dans le lecteur de leur machine. Plus de 12,6 millions de CD audio protégés ont en effet été écoulés, dont 930.000 en seule Californie, entre les mois de janvier et novembre 2005, lorsque Sony en a finalement stoppé la production.

    A noter qu'un accord similaire ( 750.000 dollars aussi ) a été signé avec la justice de l'etat du Texas et qu'il ne s'agira certainement donc pas du dernier signé en ce sens. L'affaire semble bel et bien toucher à sa fin.

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  • Sécurité - L’association de défense des logiciels libres se mobilise contre le nouvea la sortie du nouveau Windows pour le grand public,u système d’exploitation de Microsoft. Sa campagne entend pointer les défauts de Windows Vista, en particulier en matière de sécurité.

    À un peu plus d'un mois de  la Free Software Foundation (FSF) démarre une campagne pour convaincre entreprises et particuliers d'éviter ce logiciel. Elle veut les pousser à adopter d'autres systèmes d'exploitation et les appelle à se mobiliser pour l'aider.

    Pour appuyer son action, elle a créé un site web anti-Vista baptisé "BadVista", dont l'objectif est de présenter les défauts de l'OS de Microsoft en fonction de deux critères: la facilité d'utilisation et la sécurité.

    Selon la FSF, Windows Vista est une tentative de l'éditeur pour inciter les consommateurs - particuliers comme professionnels - à dépenser plus d'argent que nécessaire dans des logiciels. «Vista est de la vente poussée sous le couvert d'une mise à jour», affirme sur le site BadVista, John Sullivan, administrateur de ce programme au sein de la FSF.

    «Vista est un cheval de Troie».

    Il soutient même que Vista est un cheval de Troie, car le logiciel comporte de nouvelles fonctionnalités plus restrictives encore que celles de Windows XP, qui agissent à l'insu de l'utilisateur. La FSF indique qu'elle va «décrire en détail leur mode de fonctionnement, comment il est possible de les bloquer, et pourquoi les utilisateurs potentiels doivent être sur leurs gardes».

    Peter Brown, directeur exécutif de la fondation, va plus loin. Selon lui, Microsoft «s'est embarqué là dans son plus grand lancement, en investissant de grosses sommes dans le marketing, dans le but de tromper les médias et les utilisateurs concernant les objectifs de Vista».

    La FSF compte lancer une offensive en trois temps. Elle va créer des groupes d'action pour protester contre le «vol au grand jour de nos libertés» perpétré selon elle par Microsoft. Sa campagne proposera également des articles de presse sur la «propagande marketing» de Vista, avec une sélection déjà en ligne.

    Enfin, elle veut faire oeuvre de pédagogie en faveur des OS libres et open source, en prodiguant des conseils aux utilisateurs.

    En marge de cette campagne, différentes études menées par des cabinets d'analyse, ne prévoient pas une migration rapide vers Vista dans les entreprises. Microsoft, en revanche, se dit très optimiste.


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  • L'Etat indien du Kerala, situé au sud du pays, a annoncé en début de semaine porter une nouvelle estocade au géant des logiciels.

    Selon un article de l'AFP, le chef exécutif du Kerala, V.S. Achuthanandan, a déclaré : " Nous avions déjà  décidé de promouvoir Linux dans le cadre de notre programme ITASchool. Désormais, nous allons encore plus loin en faisant de notre Etat une destination pour le logiciel libre ".

    " Nous allons créer un réservoir de talents pour Linux. Nos étudiants seront habitués à utiliser les systèmes d'exploitation Linux et nous allons développer un module d'apprentissage " a t-il indiqué à propos de cette nouvelle initiative précisant que la région de Kerala devrait avoir un réseau d'assistance proche de l'utilisateur.

    D'après l'article de nos confrères de l'AFP, Kerala a de bonnes raisons financières de migrer vers Linux. Même si Microsoft a introduit des licences Windows bon marché dans les pays émergents, le coût minimum par ordinateur équipé de cet OS ( Operating System ) demeure toujours aux alentours de 25 dollars. A l'inverse, une distribution Linux peut être téléchargée gratuitement et son code source est ouvert.

    Selon Biju Prabhakar, un ancien directeur du programme ITASchool, il s'agit là " d'une bonne initiative. Auparavant, la plupart des gens préférait Microsoft Windows car il n'y avait pas de support efficace pour les utilisateurs de Linux. Plus de professionnels seront familiarisés avec Linux et finalement Microsoft sera forcé de réduire ses licences, ou de rendre disponible leur code source. "

    Des représentants de Microsoft rencontreront prochainement les dirigeants de l'Etat de Kerala qui ne prévoit cependant pas de bannir la multinationale, même si elle a essayé d'écarter les groupes comme Pepsi et Coca-Cola les accusant de contenir des pesticides.

    La firme de Redmond ne devra pas prendre cette annonce au hasard car, comme l'indique l'AFP, il y a un fort marché potentiel dans cette région - 32 millions d'habitants - avec plus de 90 % de taux d'alphabétisation contre une moyenne indienne située à 68,4 %.

    Bravo les Indiens.

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  • La chaîne France 3 du groupe France Télévisions s'est excusée hier soir de la diffusion de fausses images.



    Selon nos confrères de l'AFP, la troisième chaîne française avait diffusé dans le journal du 19-20 daté du 6 décembre plusieurs images censées représenter des combats en Afghanistan. En réalité, il s'agissait d'une scène de chasse aux Etats-Unis.

    Hier soir donc, la présentatrice Audrey Pulvar relayait le mea culpa public de la chaîne expliquant le pourquoi du comment. France 3 avait en effet diffusé des séquences - tout à fait réelles celles-ci - issues des conflits contre les Talibans et filmées par des soldats anglais. La presse ne peut pas toujours couvrir certaines zones de conflits et il arrive de plus en plus souvent, comme le rapportent nos confrères de l'AFP, que les vidéos présentées proviennent des unités armées.

    Bien que ces séquences soient réellement liées aux opérations de guerre en Afghanistan, 15 secondes ne correspondaient pas du tout au sujet. Présentées comme étant une observation des cibles ennemies par un tireur d'élite, ces images émanaient en fait d'un site Internet de chasseurs et les cibles n'étaient autres que des animaux, a déclaré la chaîne.

    Pourtant, cette séquence de 15 secondes avait, selon France 3, été " authentifiée par des collègues britanniques "; Audrey Pulvar a en effet fait référence au site web du Telegraph et aux commentaires apparaissant comme " précis et crédibles " à propos de ce passage. Elle a par ailleurs indiqué que " dans certains conflits où la presse n'est pas la bienvenue, ces images sont parfois le seul reflet de la réalité des combats. Largement diffusées sur internet , il arrive qu'elles soient piratées ou falsifiées.
    Malgré nos vérifications, quinze secondes de notre sujet étaient fausses.
    "

    Une seule chose à dire bravo france 3
    .

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